Projections de films récents toutes les 3 semaines

Le cinéma rural itinérant propose la projection, toutes les 3 semaines, d’un film récent en qualité numérique, avec une trêve pendant la période estivale (juillet-août) et durant les fêtes de Noël. Elle a lieu le jeudi à la salle des fêtes de Marsonnas, généralement à 20h.

Des séances à un prix abordable pour toute la famille

Le prix des places est de 4 € pour les adultes et 2 € pour les enfants jusqu’à 14 ans. Il est conseillé de vous munir d’un petit coussin pour les séances un peu longue 😉

Recevoir le programme

→ Si vous le souhaitez recevoir le programme, ainsi que les rappels de projection, contactez les bénévoles de Marsonnas, ou par téléphone au 06 89 51 89 87.

→ Les séances à Marsonnas
→ Le site du cinéma rural Bresse-Revermont

A la salle des fêtes de Marsonnas
Tarifs : 4€ adulte. 2€ moins de 14 ans. Le Pass Culture est accepté pour les 15-20 ans.

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LE ROBOT SAUVAGE – Jeudi 12 décembre à 18h

Film d’animation de Sanders Chris. Comédie tout public – Durée 1h42.

« Le Robot Sauvage, après avoir fait naufrage sur une île déserte, doit apprendre à s’adapter à un environnement hostile en nouant petit à petit des relations avec les animaux de l’île. Il devient la mère adoptive du petit d’une oie, un oison orphelin, qu’elle appellera Joli Bec. »

LES BARBARES – Jeudi 12 décembre à 20h15

Comédie de Julie Delpy – Durée 1h41

« Les Barbares » questionne le racisme en France et l’accueil des réfugiés. A Paimpont, l’harmonie règne : parmi les habitants, il y a Joëlle – l’institutrice donneuse de leçons, Anne – la propriétaire de la supérette portée sur l’apéro, Hervé – le plombier alsacien plus breton que les Bretons, ou encore Johnny – le garde-champêtre fan de… Johnny. Dans un grand élan de solidarité, ils acceptent avec enthousiasme de voter l’accueil de réfugiés ukrainiens. Sauf que les réfugiés qui débarquent ne sont pas ukrainiens… mais syriens ! Et certains, dans ce charmant petit village breton, ne voient pas l’arrivée de leurs nouveaux voisins d’un très bon œil. Alors, au bout du compte, c’est qui les barbares ? »